A lâĂ©poque de la Compagnie des Indes et pendant les annĂ©es qui suivirent la fin de son monopole du commerce, bien des matelots se sont rendus, sur des navires de Lorient Ă lâĂźle Maurice alors appelĂ©e " Isle de France ".Le voyage Ă©tait assez Ă©prouvant et durait cinq mois environ. Une fois arrivĂ©e Ă Port-Louis de lâĂźle de France, ces matelots restaient parfois plusieurs annĂ©es dans lâocĂ©an Indien, avec comme port base cette Ăźle, avant de revenir en France. Câest le cas de François Thoumelin qui sâengagea, pour son premier voyage pour la Compagnie, sur la flĂ»te Le Massiac Ă lâĂąge de 16 ans. Il effectua plusieurs expĂ©ditions Ă lâĂźle de France, aux Indes et en Chine et fit de longs sĂ©jours dans lâocĂ©an Indien. Il navigua au commerce de 1762 Ă 1784. Il partit, dans sa carriĂšre de matelot, six fois de Lorient pour des pĂ©riodes allant de deux Ă huit annĂ©es. Le temps passĂ©, entre deux voyages, avec sa famille Ă©tait trĂšs limitĂ© et se comptait en mois rarement en annĂ©e. Les questions qui se posent Ă nous, sur la vie de ces matelots, sont assez simples et peuvent se rĂ©sumer aux suivantes Que voyaient-ils sur lâĂźle ? Que faisaient-ils sur place ? Comment vivaient-ils ? Quelles Ă©taient leurs distractions ? Comment la famille vivait cette sĂ©paration ? Raconter la vie des matelots Ă lâĂźle de France nâest pas une chose aisĂ©e car la majoritĂ© dâentre eux ne savait ni lire, ni Ă©crire. Ces derniers nâont donc pas laissĂ© de traces Ă©crites sous forme de rĂ©cits ou de lettres. Pour essayer de cerner quâelle Ă©tait leur vie, il nous faut donc utiliser les tĂ©moignages indirects que sont les documents officiels Ă©crits par lâĂ©crivain du bord ou les rĂ©cits de voyage de certains capitaines. Cette brĂšve Ă©tude essaie donc de relater la vie des matelots Ă lâĂźle de France de 1750 Ă 1790, en examinant successivement lâenvironnement, le climat, la vie sociale de lâĂźle, les voyages effectuĂ©s vers les Indes et la Chine et les relations avec les familles restĂ©es en France. Le paysage de lâĂźle A 900 km de Madagascar, centrĂ©e par 20° 15â Sud et 57° 35â Est, lâĂźle de France 1850 Km2 fait partie avec lâĂźle Bourbon actuellement, lâĂźle de la RĂ©union et lâĂźle Rodrigues de lâarchipel volcanique des Mascareignes. En 1753, lâannĂ©e oĂč lâabbĂ© de La Caille sâest rendu Ă lâĂźle de France pour Ă©tablir des relevĂ©s afin de dresser une carte de lâĂźle, ce dernier mit ses observations par Ă©crit et dĂ©crivit lâĂźle de cette maniĂšre "Le terrain de lâIsle de France est en gĂ©nĂ©ral assez bon, mais il est recouvert dâune quantitĂ© prodigieuse de pierres de toutes sortes de grosseurs, dont la couleur est cendrĂ©e noire.........On y trouve aussi beaucoup de pierres ponces, surtout sur la cĂŽte nord de lâisle, de laves ou espĂšce de laitier, de fer, de grottes profondes et dâautres vestiges manifestes de volcan Ă©teint. LâIsle de France est presque toute couverte de bois. Ces bois sont assez beaux, surtout du cĂŽtĂ© du sud-est de lâisle. Ils sont fort embarrassĂ©s de fougĂšres et de lianes. LâIsle de France est arrosĂ©e de plus de soixante ruisseaux. Ils sont fort prĂšs les uns des autres dans la partie mĂ©ridionale de lâisle. Il y en a mĂȘme de fort considĂ©rable, que leur largeur et leur profondeur rendent difficiles Ă passer. Le milieu de lâisle est rempli dâĂ©tangs dâeau douce, qui sont la source de la plupart de ces ruisseaux. La cĂŽte nord-est et du nord-ouest de lâIsle est sans eau ; on nây rencontre guĂšre que des mares dâeau salĂ©e. La dixiĂšme partie de lâisle, ou Ă peu prĂšs, est dĂ©frichĂ©e et cultivĂ©e on y sĂšme du froment, de lâorge, de lâavoine, du riz, du maĂŻs et du millet. Une partie des terres est en manioc pour nourrir les noirs. On fait en quelques endroits du sucre et du fort beau coton. On ne peut labourer les terres Ă cause des pierres. On les façonne Ă coups de pioches, et lâon jette quelques grains dans chaque trou formĂ© par la pioche. DĂšs quâun champ est moissonnĂ©, on y plante souvent un autre grain. Les nouveaux dĂ©frichĂ©s sont assez fertiles ; mais on les fait trop travailler. Les grands abattis de bois quâon a faits pour Ă©tablir certains quartiers, les ont rendus sujets Ă des sĂ©cheresses qui changent les terres en poussiĂšre, entretiennent les insectes et les fourmis. On cultive dans les jardins avec assez de succĂšs la plupart de nos lĂ©gumes dâEurope, dont on fait venir les graines de France, du Cap et de lâIsle de Bourbon. On y a peu de fruits... Peu dâhabitants ont des troupeaux. Il nây a guĂšre que le cabri et le cochon dâEurope et de lâInde quâon nourrisse facilement. Les moutons y sont fort rares, et dâune mauvaise venue. On y trouve quelques troupeaux de bĆufs et de vaches venues de Madagascar. Les vaches amenĂ©es ou originaires de Madagascar rendent trĂšs peu de lait. Celles qui viennent de France sây vendent trois fois plus cher, parce quâelles en rendent plus abondamment." Les conditions climatiques Le climat de lâĂźle de France, au XVIIIe siĂšcle, Ă©tait sensiblement identique Ă celui de lâĂźle Maurice actuellement. Il est tropical mais tempĂ©rĂ© par les influences ocĂ©aniques. Il bĂ©nĂ©ficie du souffle humide de lâalizĂ© du sud-est qui engendre les classiques oppositions de versants si le Centre et le Sud reçoivent de nombreuses prĂ©cipitations, le Nord et lâOuest peuvent souffrir de sĂ©cheresse. LâĂźle est situĂ©e sur la trajectoire des cyclones tropicaux de lâocĂ©an Indien pendant lâĂ©tĂ© austral. Pendant la pĂ©riode qui nous intĂ©resse, lâĂźle fut souvent touchĂ©e par des cyclones. Un survint le 1er fĂ©vrier 1771 et occasionna beaucoup de dĂ©gĂąts sur lâĂźle. Tous les navires du port furent jetĂ©s Ă la cĂŽte et deux coulĂšrent. Le mois suivant, un autre cyclone un peu moins violent frappa lâĂźle en faisant encore des dĂ©gĂąts. Dans la nuit du 9 au 10 avril 1773, un autre ouragan atteignit lâĂźle de France. Ce dernier fut plus violent que les prĂ©cĂ©dents. De nombreuses maisons furent dĂ©truites ainsi que lâĂ©glise et encore une fois un nombre important de navires allĂšrent Ă la cĂŽte. En 1784, 1785,1786 et 1788, dâautres cyclones violents ravagĂšrent lâĂźle de France. Par la suite, le climat fut plus clĂ©ment pendant plusieurs annĂ©es. La population La population, de lâĂźle de France, Ă©tait composĂ©e de trois classes les blancs, les "libres", Ă©gaux juridiquement mais non rĂ©ellement des blancs, et les esclaves. En 1766, il y avait 1998 blancs dont la plupart Ă©taient des cĂ©libataires, des employĂ©s de la Compagnie qui avaient laissĂ© leurs femmes et leurs enfants en France. En 1788, leur nombre sâĂ©tait accru, ils Ă©taient 4457 dont la moitiĂ© vivait au chef-lieu et lâautre moitiĂ© Ă la campagne. Les "libres" Ă©taient soit des esclaves affranchis soit des "malabares" importĂ©s de lâInde comme ouvriers. Le nombre des "libres" Ă©tait de 1199 en 1776 les chiffres nâexistent pas pour 1766 et de 2456 en 1788. La plupart vivaient au Port-Louis. Les esclaves Ă©taient neuf fois plus nombreux que les blancs. Leur chiffre doubla de 1766 Ă 1788, passant de 18100 Ă 35915. Ils provenaient de la traite avec Madagascar ou le Mozambique et aussi de lâInde. La ville de Port-Louis La ville de Port-Louis, capitale de lâĂźle de France, Ă©tait une excellente rade pour les navires. Le port Ă©tait amĂ©nagĂ© et comportait des installations pour le mouillage mouillage de Caudan et lâentretien des navires. Elle comptait Ă cette Ă©poque environ 500 maisonnettes de bois. Ces derniĂšres pouvaient ĂȘtre transportĂ©es sur des rouleaux, aux fenĂȘtres ni vitres, ni rideaux et Ă lâintĂ©rieur des meubles de mauvaise qualitĂ©. Les rues et les cours nâĂ©taient ni pavĂ©es, ni bordĂ©es dâarbres. Le terrain Ă©tait recouvert par les esquines Nom vulgaire du Smilax China. Lâesquine ou la squine, de lâAsie orientale, est pourvue de quelques aiguillons, a des feuilles inermes et des fleurs en ombelles -Le fruit est une baie. Le rhizome est antirhumatismal et parsemĂ© de blocs de pierre. La voirie Ă©tait inexistante. En 1784, la ville et ses environs Ă©taient entourĂ©s par des fortifications. Les deux principales batteries Ă©taient la batterie Royale et la batterie Dumas sur la montagne des PrĂȘtres. A lâest, la ville Ă©tait fermĂ©e pour une ligne de retranchements qui allaient du trou Fanfaron jusquâau-dessus de la batterie Dumas. Pour la cĂŽte ouest, seule une ligne de fortifications en pierre sĂšche existait. Cette ligne allait du port Ă la montagne sur le terre-plein de la pointe du Morne de la DĂ©couverte. A la fin de la pĂ©riode qui nous intĂ©resse la ville a changĂ© dâaspect. La pierre a remplacĂ© le bois pour la construction des maisons, qui ont presque toutes un Ă©tage. Les rues ont Ă©tĂ© rectifiĂ©es et Ă©largies. LâĂ©glise et le "gouvernement" ont Ă©tĂ© rĂ©novĂ©s, dâautres bĂątiments dâimportance sây sont rajoutĂ©s. Le cimetiĂšre, situĂ© dâabord au centre de la ville, a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© sur la rive occidentale du port et son ancien emplacement transformer en jardin. Les ruisseaux traversant la ville ont Ă©tĂ© canalisĂ©s. Port-Louis Ă©tait divisĂ© en 3 parties au centre la ville pour les blancs avec un secteur rĂ©sidentiel et un autre commercial ; Ă lâest et Ă lâouest, deux faubourgs habitĂ©s par les "libres de couleurs". En dĂ©barquant sur le quai principal de Port-Louis, on accĂ©dait Ă la place dâArmes qui sâĂ©tendait devant le "gouvernement". DerriĂšre celui-ci, une longue avenue la rue du gouvernement conduisait au Champ de Mars, vaste plaine au fond du vallon, servant de manĆuvres. A gauche de lâavenue, en regardant le port, la partie rĂ©sidentielle, appelĂ©e quartier du Rempart, Ă droite la partie commerciale, dite quartier de la Petite Montagne, oĂč Ă©taient installĂ©s les nĂ©gociants. Les maladies, les infrastructures hospitaliĂšres et le cimetiĂšre LâhygiĂšne Ă Port-Louis Ă©tait pratiquement inconnue. La petite vĂ©role fit de nombreuses victimes ainsi que le charbon Ă©pidĂ©mique. En 1770, on estime que le quart de la population servile fut emportĂ©. De nouvelles Ă©pidĂ©mies de petite vĂ©role se dĂ©clarĂšrent en 1772 et en 1782. Les maladies Ă©taient souvent apportĂ©es par les vaisseaux revenant des Indes. AjoutĂ© Ă ses calamitĂ©s, les mauvaises conditions dâinhumations des dĂ©cĂ©dĂ©s ne permettaient pas dâenrayer rapidement la maladie. En effet, dans la ville de Port-Louis, les cochons allaient dans le cimetiĂšre dĂ©terrer les corps et ramenaient Ă la ville des lambeaux de cadavres. Bien des marins Ă©taient dĂ©barquĂ©s malades de leur navire tel le matelot François Thoumelin qui fut amenĂ© deux fois Ă lâhĂŽpital de Port-Louis Ă la fin de ses traversĂ©es Lorient- Ăźle de France, une fois en dĂ©barquant du Massiac et la deuxiĂšme fois en quittant le Daupuin. Certains, grĂące aux soins prodiguĂ©s Ă lâhĂŽpital qui fut le premier ouvrage de terre bĂąti par MahĂ© de Labourdonnais arrivaient Ă guĂ©rir dâautres comme Jean Robelet y mouraient. LâhĂŽpital sâĂ©levait entre le trou fanfaron et le bassin des chaloupes du port. Les distractions Les distractions Ă©taient nombreuses Ă lâĂźle de France pour les gens aisĂ©s et instruits. Il y avait des rĂ©ceptions, des bals, des rĂ©unions de sociĂ©tĂ©s savantes, etc...Mais pour les matelots, de condition modeste, les loisirs Ă©taient bien plus restreints. A bord du navire, les distractions Ă©taient limitĂ©es. La vie Ă©tait rythmĂ©e par lâentretien du navire, les repas et le repos. Toutefois quelques jeux de sociĂ©tĂ© Ă©taient pratiquĂ©s tels que les osselets, les dominos, le jeu de dames et les Ă©checs. Par contre, Ă terre, les matelots pouvaient se distraire dans les nombreux bars de la ville de Port-Louis oĂč il existait, en 1772, 125 cabarets. Ce nombre fut rĂ©duit les annĂ©es suivantes. Ces sorties Ă terre pouvaient parfois mal se terminer pour certains matelots. Comme, dans tous les ports, des bagarres Ă©clataient et parfois des matelots Ă©taient blessĂ©s ou tuĂ©s. Une autre distraction Ă©tait Ă la disposition des matelots, une visite au "bazar" ou marchĂ© situĂ© derriĂšre lâhĂŽtel du gouvernement. Le commerce, les achats Le but des voyages Ă©tait bien sĂ»r le commerce et en particulier celui des Ă©pices, des Ă©toffes et des porcelaines mais les matelots nây Ă©taient pas directement impliquĂ©s. Toutefois, Ă lâĂźle de France, la Compagnie disposait de vastes magasins oĂč lâon dĂ©posait tout ce qui venait de France ou ce que le gouverneur jugeait bon de faire acheter hors de lâĂźle pour la subsistance des habitants. Lâensemble du personnel de la Compagnie ainsi que le gouverneur, les conseillers, les prĂȘtres des paroisses, etc. Ă©taient autorisĂ©s Ă acquĂ©rir au prix coĂ»tant les marchandises entreposĂ©es câĂ©tait ce que lâon appelait le prix de la Compagnie. La monnaie dâĂ©change Ă©tait la piastre gourde dâEspagne qui Ă©quivalait en 1761, 105 Ă 106 sous en dehors de lâĂźle de France. Sur lâĂźle, pour favoriser le commerce, la piastre ne valait que trois livres douze sous ; convertie en lettre de change sur la Compagnie, elle reprenait sa vĂ©ritable valeur. Dâautre part, avant de revenir en France, les matelots procĂ©daient gĂ©nĂ©ralement Ă des achats pour les revendre une fois de retour Ă Lorient. Ce commerce, le "port permis", autorisĂ© par la Compagnie, rapportaient beaucoup. Il pouvait permettre de doubler la solde. Certains sâadonnaient aussi Ă la "pacotille", câest-Ă -dire effectuaient des achats pour des tiers et partageaient ainsi les bĂ©nĂ©fices avec ces derniers. Mais ce commerce Ă©tait plus risquĂ© car nâĂ©tant pas autorisĂ©, il Ă©tait sujet Ă la confiscation des produits. La vie au jour le jour Les matelots Ă©taient sous lâautoritĂ© du capitaine et des officiers des navires sur lesquels ils Ă©taient embarquĂ©s. LâĂźle Ă©tait commandĂ©e par le gouverneur, les navires et le port par le chef dâescadre. A lâĂ©poque de la Compagnie des Indes, le matelot signait un engagement pour plusieurs annĂ©es. Pendant cette pĂ©riode, la Compagnie Ă©tait tenue de nourrir et de fournir les subsistances au matelot Ă lâĂźle de France et mĂȘme au-delĂ de lâexpiration de lâengagement jusquâĂ ce quâil se prĂ©sente un navire pour rentrer en France. Mais cette prise en charge par la Compagnie, aprĂšs la date de fin dâengagement, nâĂ©tait effective que si le matelot poursuivait ses services avec la Compagnie. Au port, le matelot vivait donc Ă bord du navire sur lequel il Ă©tait embarquĂ©. Entre deux embarquements, il se retrouvait parfois Ă bord dâune "cayenne", câest-Ă -dire Ă bord dâun navire mouillĂ© en rade et servant de caserne flottante. Parfois, lorsquâil Ă©tait malade au port ou aprĂšs une navigation, il dĂ©barquait et Ă©tait hospitalisĂ© Ă lâhĂŽpital de Port-Louis. Les embarquements Ă partir de lâĂźle de France Pendant la premiĂšre partie de la pĂ©riode qui nous intĂ©resse, jusquâen 1767, seuls les navires de la Compagnie des Indes Ă©taient autorisĂ©s Ă commercer Ă partir de lâĂźle de France. Les annĂ©es suivantes, le monopole de la Compagnie Ă©tant tombĂ© les Ă©changes devinrent plus libres. Les marins qui restaient Ă lâĂźle de France pouvaient donc embarquer localement pour complĂ©ter les Ă©quipages des navires qui naviguaient Ă partir de Port-Louis. Les Ă©quipages Ă©taient gĂ©nĂ©ralement composĂ©s par des europĂ©ens ou amĂ©ricains, des lascars originaires de lâInde et des esclaves africains. Les voyages et les activitĂ©s rĂ©alisĂ©s par les navires pouvaient se classer de la façon suivante le cabotage avec les dĂ©pendances Seychelles et Rodrigues principalement, les voyages avec lâĂźle Bourbon et Madagascar, la traite nĂ©griĂšre en Afrique, le commerce dâInde en Inde LâInde, Ceylan, lâIndonĂ©sie, Malaisie etc., les opĂ©rations de pĂȘche, dâexploration et de dĂ©couverte, la course maritime. François Thoumelin, dont nous avons dĂ©jĂ parlĂ© prĂ©cĂ©demment, participa Ă partir de lâĂźle de France, ainsi Ă des voyages vers les Indes et aussi Ă des opĂ©rations de course dirigĂ©es par le chef dâescadre, monsieur Grout de Saint-Georges. Il toucha ainsi des parts de prises sur les navires capturĂ©s Ă lâennemi. La famille en France Pour vivre, la famille restĂ©e en France touchait des acomptes. Ces derniers Ă©taient versĂ©s Ă la femme du matelot qui se prĂ©sentait avec un billet signĂ© du prĂȘtre de la paroisse certifiant quâelle Ă©tait bien lâĂ©pouse. Par contre les nouvelles Ă©taient rares. En effet, comme la plupart des matelots et leur famille ne savaient ni lire, ni Ă©crire, ils ne pouvaient donc pas correspondre par courrier. La principale façon dâavoir des nouvelles Ă©tait dâentendre Ă leur retour en France, des matelots connaissant lâhomme restĂ© aux Indes et qui lâavaient vu dans les mois auparavant. Parfois, certaines personnes sachant Ă©crire servaient dâintermĂ©diaire pour rĂ©diger une lettre au directeur de la Compagnie des Indes de Lorient afin dâavoir des nouvelles dâun marin. La lettre ci-aprĂšs est un exemple de ce type de courrier Monsieur La femme du nommĂ© Jean Blanche canonnier dansla Compagnie, mâa dit que vous aviez eu la bontĂ© delui promettre il y a plus dâun an des nouvelles de sonmary. Elle est pauvre et chargĂ©e dâenfans. Je vousprie en grace, et de sa part, je voudrois bien luy fairescavoir des nouvelles de son mary, vous ferez unecharitĂ©. Si vous avez pour agrĂ©able en mâhonorantdâune rĂ©ponse, de mâen inscrire, je lui en ferai partaussitĂŽt. Je suis avec respectMonsieurVĂŽtre trĂšs humble et trĂšs obĂ©issant serviteur Blanchardancien procureur du roi, du PrĂ©sidial de Quimper _A Josselin le 16 AoĂ»t 1763. Dâautre part, la Compagnie tenait Ă jour la liste des Ă©quipages et lorsquâun matelot dĂ©cĂ©dait, lâĂ©crivain du bord Ă©tablissait lâinventaire des biens du dĂ©cĂ©dĂ© et dressait un procĂšs-verbal, signĂ© du capitaine et des autres officiers du bord. Une vente aux enchĂšres des hardes et effets avait lieu Ă bord. Au retour la famille Ă©tait donc prĂ©venue et touchait la solde due et le produit de la vente des biens. Le risque Ă©tait que le navire, au retour, sombre ou soit pris par lâennemi, supprimant ainsi la famille de toute information. Câest ainsi que Florence Guzello apprendra le dĂ©cĂšs de son mari, Jean Robelet, bien longtemps aprĂšs sa mort Ă lâhĂŽpital de Port-Louis, par deux de ses compagnons lors de leur retour en France. Nâayant aucun document pour faire valoir ses droits Ă succession, elle fut obligĂ©e dâĂ©tablir devant notaire un acte pour constater le dĂ©cĂšs de son Ă©poux 10 annĂ©es et demie aprĂšs. Conclusion Les matelots embarquant pour la Compagnie des Indes dans les annĂ©es 1750 Ă 1790 partaient en gĂ©nĂ©ral pour plusieurs annĂ©es. Le matelot quittait la France pour des pays lointains Ăźle Maurice, les Indes et la Chine. La premiĂšre Ă©tape Ă©tait en gĂ©nĂ©ral le voyage Lorient - Port-Louis de lâĂźle de France. Cette ville Ă©tait alors pour lui le port base oĂč il vivait entre deux expĂ©ditions pour les Indes ou la Chine. Il avait peu de nouvelles de sa famille et cette derniĂšre recevait aussi peu dâinformations sur le pĂšre, le fils ou lâĂ©poux parti pour de longues annĂ©es. La femme et les enfants restĂ©s en France devaient donc vivre seuls avec toujours lâangoisse de ne jamais revoir lâĂȘtre cher. Sources et bibliographie [1] - LâabbĂ© de La Caille - Observations sur lâĂźle Maurice faites en 1753 - Revue agricole de lâĂźle Maurice de mai - juin 1953 - pages 126 Ă 129. [2] - Auguste Toussaint - Une citĂ© tropicale - Port-Louis de lâĂźle Maurice - Presses Universitaires de France - 1966. [3] - Josiane Le Lan - La vie de François Thoumelin - La Chaloupe N° 52 - Pages 5 Ă 8. [4] - Josiane Le Lan - Un acte de dĂ©cĂšs bien particulier - La Chaloupe N° 56 - page 13. [5] - EncyclopĂ©die Universalis. Article sur lâĂźle Maurice. [6] - Auguste Toussaint - La route des Ăźles - Edts SEVPEN - 1967. [7] - Auguste Toussaint - Le mirage des Ăźles - Le nĂ©goce français aux Mascareignes au XVIIIe siĂšcle - Edts EDISUD - 1977. [8] - Auguste Toussaint - Histoire des Iles Mascareignes - Edts Berger-Levrault - 1972. [9] - Auguste Toussaint - Les frĂšres Surcouf - Edts Flammarion - 1979. [10] - Philippe Haudrere - GĂ©rard Le BouĂ«dec - Les Compagnies des Indes - Edts Ouest-France - 1999. [11] - AndrĂ© Garriques - Guide visiteur du MusĂ©e de la Compagnie des Indes Ă Port-Louis. [12] - Jean Boudriot - Compagnie des Indes 1720-1770 - EditĂ© par lâauteur Ă Paris - Collection ArchĂ©ologie Navale française - 1983. [13] - Marcelle Lagesse - Ces hommes de la mer - Edt IPC. [14] - Auguste Toussaint - L. NoĂ«l Regnard - DâUnienville - Dictionnaire de biographie Mauricienne. [15] - Site Internet - Sophie Hoarau et Marie-Paule Janiçon - Edition critique du Voyage Ă Rodrigue 1761-1762 dâAlexandre-Louis PingrĂ© - MĂ©moire de maĂźtrise 1992 sous la direction du Professeur Racault. [16] - SHM de Lorient - N° 1P282 B - liasse 80 - piĂšce 64 - lettre de monsieur Blanchard.
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Enfilez vos palmes et Ă©quipez-vous dĂšs maintenant de vos masques et tubas, on vous emmĂšne explorer les plus beaux spots de snorkeling de lâĂźle Maurice. Parc marin de Blue Bay, le plus populaire SituĂ© au sud-est de lâĂźle, Blue Bay est sans doute le spot le plus rĂ©putĂ© de lâĂźle. Facile dâaccĂšs, vous pouvez vous y rendre en bateau Ă fond de verre depuis la jetĂ©e de la plage. Cette zone protĂ©gĂ©e, parsemĂ©e de coraux dont certains sont vieux de 800 ans, se trouve face Ă la plage publique Ă©ponyme et est le seul parc marin de lâĂźle. Avec 5 Ă 6 mĂštres de profondeur et une superficie de plus de 140 hectares, vous pourrez y admirer une myriade de crĂ©atures sous-marines telles que les poissons-perroquets, les Idoles des Maures, les poisson-demoiselles et les poissons sergent-major. Les plus chanceux auront peut-ĂȘtre mĂȘme la chance de croiser des tortues. Notez que dans cette rĂ©gion, les courants peuvent ĂȘtre forts Ă certains endroits. Les baigneurs ne peuvent pas rejoindre seuls toutes les zones du parc marin sans ĂȘtre accompagnĂ©s dâun guide professionnel. OĂč sĂ©journer ? Shandrani Beachcomber Resort & Spa Flic en Flac, le plus accessible SituĂ© sur la cĂŽte ouest, Ă lâabri du vent, Flic en Flac est superbe. La plongĂ©e en apnĂ©e est captivante et trĂšs accessible, et ce mĂȘme pour les enfants, chose assez rare pour ĂȘtre soulignĂ©e sur lâĂźle. Avec ses 2 mĂštres de profondeur, sa grande et longue plage, ses eaux calmes, elle vous permettra de passer des instants inoubliables. Vous nagerez parmi les coraux et les poissons colorĂ©s, en toute sĂ©rĂ©nitĂ©. Le lagon recĂšle diverses espĂšces telles que le dascyllus Ă queue blanche, le poisson-papillon ou encore des petites murĂšnes. De plus, vous aurez une vue magnifique sur le Morne Brabant en arriĂšre-plan. Toutefois faites attention aux oursins, il est conseillĂ© de porter des chaussures de plage appropriĂ©es ou des palmes lors de vos sorties !OĂč sĂ©journer ? La Pirogue Resort & Spa Trou aux Biches, lâincontournable VoilĂ lâun des meilleurs spots de lâĂźle, un immanquable du nord Trou aux Biches. Une abondance dâespĂšces sous-marines vit dans ses eaux peu profondes et dâun bleu azur. Un endroit rĂȘvĂ© pour faire du snorkeling, oĂč Ă 200 mĂštres de la plage vous trouverez une barriĂšre de corail. Si ce spot est destinĂ© aux nageurs expĂ©rimentĂ©s car le vent y souffle rĂ©guliĂšrement fort, la sortie vaut largement le dĂ©tour. Avec votre masque, vos palmes et votre tuba, rejoignez la barriĂšre et plongez dans un univers fĂ©erique ! Soyez attentif pour ne pas manquer les poissons-globe, qui se faufileront sous vos yeux. Vous pourrez Ă©galement voir des palourdes gĂ©antes, des oursins et des crayons dâ sĂ©journer ? Sakoa Boutik Hotel Mauritius Baie de MahĂ©bourg, le plus secret On vous invite Ă vous aventurer dans lâun des spots les moins connu du sud de lâĂźle, qui recĂšle pourtant de nombreux trĂ©sors. La baie de MahĂ©bourg, profonde de 8 mĂštres est accessible en bateau avec un guide local qui saura vous transmettre sa passion pour les fonds marins et lâenvironnement Ă prĂ©server de lâĂźle Maurice. Dans le vaste lagon, vous trouverez le rĂ©cif Ă environ 1,3 km de la terre ferme. Avec une superficie de 500 mÂČ, ce rĂ©cif est composĂ© de coraux tabulaires avec des cornes de cerfs ainsi que des coraux aux couleurs de feu. Vous serez agrĂ©ablement surpris par la beautĂ© de cette flore corallienne encore prĂ©servĂ©e. Au centre du spot vous pourrez admirer des anĂ©mones et poissons clowns mauriciens, une espĂšce endĂ©mique, des barracudas et autres espĂšces. Ă lâabri des courants et des vagues, la plongĂ©e en apnĂ©e est y est une expĂ©rience sĂ©journer ? Preskil Island Resort LâĂźle Plate et lâĂźlot Gabriel, les plus captivants Autres spots du nord, lâĂźle Plate et lâĂźlot Gabriel sont deux Ăźlots voisins qui se situent Ă 10 km au large de la cĂŽte. Il faut compter 90 minutes de bateau depuis Grand Baie pour sây rendre. Le snorkeling y est des plus beaux car les fonds marins sont mieux prĂ©servĂ©s et moins sollicitĂ©s, bien quâil reste des prisĂ©s par les voyageurs en catamaran qui viennent sâamarrer non loin de lĂ . Pour atteindre le spot de lâĂźle Plate, Ă cause des courants il est prĂ©fĂ©rable de marcher vers le nord et redescendre le courant. Et Ă lâĂźlot Gabriel vous allez nager Ă contre-courant, mais cela est possible uniquement quand il nâest pas trop fort. De plus, ces eaux cristallines abritent des poissons-ange empereur, lâun des plus beaux de lâĂźle, des poissons napolĂ©ons, des poissons-mouches, des balistes, et de nombreuses autres espĂšces. Avec de la chance, vous apercevrez peut-ĂȘtre une raie pastenague ou une tortue de sĂ©journer ? Zilwa Attitude Trou dâeau Douce et lâĂźle aux Cerfs, les plus agrĂ©ables Joli village cĂŽtier, Trou dâeau Douce est un Ă©galement un spot de snorkeling dont la partie intĂ©rieure du rĂ©cif et est dâune profondeur constante de 2 Ă 3 mĂštres. Vous nagerez parmi une kyrielle de poissons tels que le poisson chirurgien, poisson perroquet ainsi que des palourdes gĂ©antes de toutes les couleurs. Le lagon dâun bleu magnifique et les montagnes verdoyantes tout autour de vous en font un cadre de rĂȘve, incontestablement. Vous serez Ă©galement Ă lâabri des vagues et du courant ce qui rend la pratique du snorkeling trĂšs agrĂ©able. Juste Ă cĂŽtĂ© de lĂ , lâĂźle aux Cerfs est un joyau mauricien et un endroit magique pour faire de la plongĂ©e en apnĂ©e. Dans son lagon turquoise, ce spot recĂšle une vie sous-marine trĂšs riche. Des coraux colorĂ©s, des Ă©toiles de mer,des vivaneaux Ă raies bleues, des dorades, et une multitude dâautres espĂšces tropicales cohabitant ici et donnent la sensation dâĂȘtre immergĂ© dans un sĂ©journer ? Shangri-La Le Touessrok Mauritius Lors de vos sorties snorkeling, gardez toujours Ă l'esprit que vous profitez d'un environnement naturel enchanteur qu'il faut absolument prĂ©server. Pensez Ă ne pas marcher sur les coraux, ne pas en arracher pour en ramener en souvenirs et Ă ne pas vous agripper Ă ces joyaux. Nous vous conseillons Ă©galement d'utiliser de la crĂšme solaire adaptĂ©e aux sorties en mer, afin de ne pas participer au blanchiment et la destruction des Ă©cosystĂšmes marins. Pour votre projet de voyage Ă l'Ăźle Maurice, les conseillers Mauritius Travel sont Ă votre disposition au 01 83 77 01 10. Vous pouvez faire confiance Ă leur expertise et surtout Ă leur esprit critique !
Jevoudrais avoir le numéro de l'ßle Maurice Commenter 0. Signaler; Réponse 2 / 2. owl412 Messages postés 63 Date d'inscription dimanche 9 mars 2008 Statut Membre DerniÚre intervention 18 avril 2013 4 7 févr. 2010 à 15:47. Salut claire ! Depuis l'étranger tu dois, pour appeler la Réunion, composer +262 262 suivi du num. de fixe ! Exemple +262 262 75 54
Se marier Ă LâIle Maurice Si vous ĂȘtes Ă la recherche dâun lieu paradisiaque aux allures de carte postale, dâune destination sĂ©curisante et tout ça sans se ruiner. Ne cherchez plus, lâIle Maurice est la destination quâil vous faut. Ce petit coin de paradis dans lâOcĂ©an Indien est une des destinations favorites au monde pour cĂ©lĂ©brer le plus beau jour de sa vie. DĂ©couvrez pourquoi. LâĂle Maurice, un paradis Ă petit prix ! LâĂźle Maurice vous offre un cadre idyllique pour un mariage, partagĂ© entre mer et montagne. Vous pourrez profiter de magnifiques fonds marins et rĂ©aliser des safaris aquatiques. Avec ses habitants trĂšs accueillants parlant français, cette Ăźle de lâocĂ©an indien , vous apportera fraĂźcheur, bonne humeur et dĂ©couverte. Mais la beautĂ© de lâĂźle Maurice ne se limite pas aux plages de sable blanc, la nature tropicale et sauvage de lâĂźle saura Ă©galement vous surprendre. Les amoureux du monde entier rĂȘvent de cĂ©lĂ©brer le plus beau jour de leur vie dans le cadre enchanteur de lâIle Maurice. Lâexotisme de ses marchĂ©s, ses montagnes volcaniques et ses lagons envoĂ»tants, vous sĂ©duiront Ă tous les coups ! Cette destination aux avantages multiples promet un mariage fĂ©erique pour un coĂ»t trĂšs compĂ©titif. Comment se dĂ©roule un mariage Ă lâIle Maurice Tout vous est permis pour cette journĂ©e unique ! Imaginez la magie dâun mariage Ă lâĂle Maurice cĂ©lĂ©brĂ© sur la plage les pieds dans le sable face Ă une belle arche fleurie et la mer Ă perte de vue. Puis faire une sĂ©ance photos romantique dans un jardin tropical avec une vue sur les Ăźles du Nord. Vous ĂȘtes plutĂŽt dâhumeur marine ? Pas de problĂšme, embarquez Ă bord dâune pirogue traditionnelle fleurie naviguant sur un lagon dâun turquoise profond au coucher du soleil. Pour les plus romantiques, partez en calĂšche dans un parc ancestral, hors du temps, pour une union teintĂ©e dâun romantisme inĂ©galĂ©. Puis reprenez la route de la plage⊠Plus dâintimitĂ© ? Tels deux Robinsons, vous irez cĂ©lĂ©brer votre mariage Ă lâile Maurice sur une Ăźle dĂ©serte. Pour quâelle soit inoubliable, clĂŽturer cette journĂ©e avec un diner aux chandelles face Ă la mer. Ce ne sont ici que quelques bribes des possibilitĂ©s qui sâoffrent Ă vous pour rĂ©aliser un mariage Ă lâile Maurice. Pour les mariages Ă lâĂźle Maurice, nous proposons deux types dâoffres des forfaits complets pour un mariage dans votre hĂŽtel et des offres sur mesure sur des plages libres ou iles dĂ©sertes pour plus dâintimitĂ©.
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